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UNE MONTRE AUX ENCHERES, OUI MAIS PAS N’IMPORTE LAQUELLE !

Et oui cette montre aura fait couler beaucoup d’encre, ou plutôt de touches de claviers, car il ne s’agit pas d’une montre quelconque, laissons les explications du cabinet de Maître Machoïr du château de Montastruc La Conseillère qui en passant nous donne quelques indications sur son futur acquéreur, mais pas trop quand même...!.

Un prix record pour une montre MIDO de 280 000 euros, mais avant tout, un objet historique porté par certainement le plus grand personnage de l’Automobile, pilote, constructeur de génie de voitures de Grand Prix et de luxe, et un artiste comme toute sa famille.

Ce résultat est un hommage à Ettore et une marque de reconnaissance à ce génie.

Les raisons de cette réussite sont dues à notre association avec les experts MM. Jean-Christophe Guyon et Alexandre Léger.

Ceux-ci avaient eu l’idée géniale de réunir la montre d’Ettore avec la Bugatti Royale dans la Cité de l’Automobile, Musée National de Mulhouse, création des frères Schlumpf, où nous avions déjà réalisé une vente aux enchères voici déjà quelques années.

Les experts en dehors de leur apport technique ont procédé à une recherche historique de cette montre du « Patron » grâce à la confirmation de Michel Bugatti, fils junior d’Ettore, et de sa petite fille Caroline. Un historique clair et limpide.

De notre côté, nous jouions de nos contacts dans le sport automobile et nos relations publiques.

Toute la presse artistique, automobile et de la montre du monde entier de l’Europe aux USA, Mexique reprenait cette information, fruit d’un travail de plusieurs mois et surtout lorsque l’on sait que cette montre avait été vendue il y a 30 ans par une grande maison de ventes dans l’anonymat.

Nous nous réjouissons de savoir que l’acquéreur est un passionné d’automobile au plus haut niveau, partenaire en F1, possesseur de Bugatti anciennes et modernes : la montre d’Ettore va donc continuer à vivre au poignet d’un connaisseur, comme dans l’esprit du « Patron ».

Contrairement à certaines études de Commissaires-Priseurs où il convient de faire de « l’abattage » pour faire face aux frais et présenter pléthore de ventes sans connaissances, nous avons décidé dans l’intérêt de tous de nous consacrer à peu de ventes, de pièces extraordinaires nous permettant de tout étudier tranquillement.

C’est aussi dans ce sens que nous préparons un autre lieu de vente dans l’écrin historique d’un autre château ; un objet d’art doit recevoir un contexte adéquat.

B.L.S. 6 communiqué © Etude Machoïr]

Publié le 21 avril 2021