Tout le sport automobile en Midi-Pyrénées et en Béarn
  1. Accueil
  2. > COMPETITIONS
  3. > ASPHALTE
  4. > Circuit

A BATON ROMPU AVEC FABIEN CALVET

Le Toulousain Fabien Calvet a bien voulu nous donner son point de vue sur les mois plutôt compliqués que nous venons de vivre. Après avoir revue son planning de responsable du Championnat de France Camion c’est sans langue de bois qu’il nous livre ses sentiments.

Comment va Fabien ? ‘’Très bien nickel, même si tout n’est pas forcement facile. Nous devons malgré tout avancer !’’

Une saison pas facile qui n’a pas encore débutée, mais quand même des signes encourageants ! ‘’C’est exact, tout d’abord le nombre d’engagés est extrêmement motivant avec plus de trente pilotes ce qui est un record. De nouveaux venus en particulier des jeunes, comme les Albigeois Fabien et Romain Rival, déjà engagé Yorick Montagne alors que son père Lionel a délaissé le pilotage, de la République Tchèque, la jeune Aliyyah Koloc âgée de 16 ans. pas novice du tout malgré son jeune âge, qui plus est se destinait a être joueuse de tennis et qui hélas à du laisser tomber s’étant blessé, mais qui en veut un sportive accomplie. Un quarteron de fille sera également présent, dont Aliyyah, Laurine Orsini, Jennifer Janiec ou la Belge Sarah Bovy venant de la voiture, tourisme ou monoplace, toutes devraient donner d’eux même .’’

Ton jeune fils Téo est toujours de la partie à ce que je vois ?Téo change de d’équipe et il rejoint l’ équipe Buggyra Racing avec un Freightliner, avec on s’en doute l’envie de jouer le titre !’’

Tu as du faire l’impasse sur certains rendez-vous, comment as-tu fais le choix ? ’’Vrai, nous n’avons que quatre meeting au final, mais nous avons sauvé l’essentiel, Nogaro, Albi, le Paul Ricard et le Mans. Par contre Magny-Cours et Charade ne sont plus de la partie, car se n’était pas envisageable, trop de rendez-vous sur un laps de temps aussi court n’aurait pas été jouable, on ne peut que le regretter. ‘’

Regardons le côté financier ? ’’Je ne dirai que l’on ne peut pas gagner à tous les coups. Bien sûr on a perdu des sous par exemple du côté promotionnel, mais on reste debout. Nous sommes présents comme lorsqu’il fallait être présents lors de la pandémie pour transporter de la marchandise. Nous, nous devons d’occuper le terrain, nous sommes sur une phase ascendante, tout avance et, je dirai que c’est là l’essentiel !’’

Merci Fabien et, rendez-vous à Nogaro, pour le Grand Prix Camion les 5 et 6 septembre.

B.L.S.

Publié le 3 juillet 2020